Le Coronavirus continue à faire des victimes dans le monde entier. A quand la mise en quarantaine de la planète ?
Autrefois "quarantaine" voulait dire : quarante jours. C'est ainsi que les imprudents qui voulaient voyager en Angleterre avec leurs petits chéris à quatre pattes, et à cause des maladies qu'ils pouvaient propager, particulièrement la rage, se retrouvaient en cage pendant 40 jours à la douane anglaise.
De nos jours, ce sont les humains que l'on met en quarantaine, presqu'en cage, dans des lieux réservés aux vacances, mais également à l'éducation des sapeurs-pompiers qui veulent en faire leur métier, mais seulement pendant 14 jours. Et pourtant, ils doivent avoir la rage au cœur d'être ainsi traités !
Bien gardés par des militaires et des policiers, comme des repris de justice dangereux, ils sont livrés à la vindicte populaire des villages environnants qui ont peur que le virus mortel ne soit transporté jusqu'à eux par le mistral.
Lorsque la quatorzaine sera effectuée, seront-ils alors lâchés dans la nature et poursuivis par la meute des journalistes qui, le masque sur la bouche, voudront recueillir leur parole dévirusée ? Comme tout ceci est cruel !
Qui sait si le pneumocoque découvert sur les chantiers navals de Marseille n'est pas un dérivé du Coronavirus ? Au moins possédons-nous un vaccin et avons-nous des moyens pour l'éradiquer... enfin si les hôpitaux ne sont pas en grève
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Cependant, même lorsque nous possédons les vaccins, ce n'est pas pour autant que les personnes censées sont prêtes à les utiliser. La rougeole est en recrudescence par ignorance, entre autres.
Les Chinois sont capables de construire un hôpital pour une ville de 10 millions d'habitants et plus en dix jours. Seront-ils capables d'arrêter l'épidémie ?
Quid de la France dont les hôpitaux sont délabrés, les médecins démissionnaires et incapables de faire face aux bobos quotidiens du peuple ?
Dans le même temps, les criquets s'en donnent à mandibules joie dans les champs des pays les plus pauvres de l'Afrique vouant leurs habitants à une mort certaine, sans récoltes, donc sans nourriture.
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Chikungunya, Dengue, SRAS, Escherichia coli, Lyme, Ebola, rougeole, fièvre jaune, Yerciniose (bactérie du porc)... Il ne manquerait plus que la variole refasse surface et le compte serait bon !
Les dix plaies d'Egypte, ça ne vous rappelle rien ?
Un bon conseil : pour vivre sans danger, restons enfermés. Quoique... les produits ménagers ne nous veulent pas que du bien 
!
Eriam
