Ainsi que je l'avais prévu (je n'aime pas être oiseau de mauvais augure), Poutine, bien habilement, a commencé à exercer des représailles contre le reste du monde.
Bien sûr, il n'a pas visé l'Amérique pour le moment, mais un avion malaysien (tiens, tiens, çà ne vous rappelle rien ?) dans lequel voyageaient une majorité de Hollandais (rien à voir avec le PS).
Et pourtant, ce ne sont pas les Pays-Bas qui avaient éliminé la Russie de la coupe du monde de football, mais l'Algérie dont on sait que les Algériens de France sont tous Français quand ils ont perdu.
L'art de la guerre, selon Poutine, n'est pas d'attaquer celui qui s'y attend, mais le non-ennemi qui ne demande rien à personne. Que François qui, l'air de rien, a montré ses petits poings cruels à Wladimir en élevant la voix se méfie. Et nous aussi !
Oui, nous devons nous méfier de François qui a décidé de couper la France en 13 (son chiffre porte-bonheur ?) alors que 22 était un chiffre tout à fait raisonnable.
La première à réagir à ce redécoupage à la petite semaine, a été une bientôt septuagénaire (elle a 64 ans) que, pour notre bonheur, nous n'entendions plus depuis 2012.
Comme chez elle il n'y a pas de flou, donc pas de loup, Martine Aubry monte au créneau (clic) pour refuser que sa pauvre région Nord-Pas de Calais n'ait pas à supporter le fardeau de la plus pauvre Picardie.
Et on la comprend. Si moins par moins donne plus en mathématiques, en matière de pauvreté, moins + moins donne... la misère.
Je la cite :
« Il n’est pas trop tard pour réussir le quinquennat. On a réussi de belles choses (NDLR. lesquelles ?) mais on en a loupé d’autres (NDLR. toutes) » a-t-elle jugé avant d’ajouter d’un seul trait : « Si depuis deux ans dans tous les domaines, on avait eu une grande vision et une méthode, on aurait eu un peu moins de problèmes ». (NDLR. Ca c'est ben vrai !)
François, je te demande d'arrêter de jouer au Monopoly !
Eriam