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LE BLOG D'UNE FEMME PASSIONNEE DE POLITIQUE
 
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12 août 2018 7 12 /08 /août /2018 15:52

Si ce titre vous paraît sibyllin ne vous y arrêtez pas. Vous allez être bientôt fixés.

Nous sommes en pleines commémorations en tous genres de la guerre 1914-1918, dont il reste encore des cicatrices, sinon sur les hommes qui la firent puisqu'ils ont tous disparu, mais sur la terre de France en de nombreux endroits.

Aujourd'hui Nicolas Hulot, régénéré par le procès Monsanto qui a mis sur la sellette le fameux glyphosate, et surtout condamné le fabricant à verser 289 millions de dollars au pauvre jardinier victime d'un cancer de la peau, Nicolas Hulot disais-je, repart en guerre.

La semaine dernière, victime de la canicule, il étouffait presque en délivrant sa parole bénie aux médias. Depuis hier, il a repris du poil de la bête et le fait savoir haut et clair. Il est vrai que la température s'est nettement refroidie !

Bien sûr, il est dans son rôle puisqu'il paraît qu'il est ministre d'Etat soi-disant pour nous protéger contre les ennemis de l'écologie. Cependant, cette guerre, qui n'a hélas commencé que depuis quelques décennies, pourrait bien durer plus de cent ans, et le cancer aura tout le temps de perpétrer ses crimes atroces.

A propos de cancer, il est certain que Dewayne Johnson - rendons-lui son nom il ne le portera plus longtemps - avec la somme fabuleuse qu'il devrait toucher aurait pu se soigner. Malheureusement pour lui, étant en phase terminale, sa seule consolation sera d'avoir fait condamner ceux qui l'avaient lui-même condamné.

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Ce qui précède, même si c'est une bonne nouvelle pour la suite, si tant est que Monsanto soit débouté en appel, ne guérira pas toutes les personnes atteintes de ce terrible mal. Récemment j'ai lu dans un journal non spécialisé mais bien informé, que les traitements du cancer sont hors de prix et que la Sécurité Sociale, qui les prend en charge à 100%, pourrait bien devenir asociale et sélectionner ceux qui en bénéficieraient. De toutes façons, les patients atteints de cancer n'ont absolument aucune idée du coût des traitements.

Un mien ami me faisait part récemment d'un nouveau traitement destiné à soigner sa leucémie et dont on lui avait prescrit le "générique" certainement inefficace dans son esprit, car le médicament américain était trop onéreux. Il refusait donc de le prendre persuadé qu'il aurait des effets secondaires y imputables !

Je suis donc allée consulter ma boîte magique (c'est ainsi que certaines personnes réfractaires à la technologie appellent mon smartphone dont je ne citerai pas la marque) et j'ai découvert que le médicament américain, pour un traitement de 28 jours, coûtait 3300 euros, tandis que le "substitut" français ne coûtait que 1880 euros !

Devant ce montant certes conséquent, il révisa sa position et accepta d'avaler ses comprimés. Quelques jours après il m'annonça qu'il ne s'était jamais senti aussi bien.

Peut-être faudrait-il mieux informer les patients qui reçoivent des soins, quel qu'en soit le montant, afin de leur prouver combien leur santé nous est chère ?

Eriam

 

Plastique : la guerre s'intensifie

Dans le même temps, le gouvernement, dont on ne sait s'il est en vacances ou au boulot, prépare des mesures de rétorsion contre les Français qui auront la faiblesse de continuer à préférer le plastique neuf au plastique recyclé.

De même, les gobelets, assiettes, couverts, pailles à usage unique seront bannis sous peine de taxes supplémentaires. Il me semble que Ségolène Royal avait, en son temps, il y a bien, bien longtemps au royaume des Bisounours, décrété hors la loi tous ces ustensiles qui évitaient à la maîtresse de maison d'avoir à faire la vaisselle.

Seules les pailles en bambou seront acceptables. Attention ! Que mangera le panda du zoo de Beauval, filleul de Brigitte Macron si nous lui piquons ses bambous ?

Coca-Cola a déjà pris les devants qui offre un verre en verre à tous ceux qui consommeront un double maxi burger dans ses usines à bouffe ! Il vaut mieux ramasser des bouts de verre que laisser traîner des sacs plastique en dehors des poubelles.

Tout cela est bel et bon, mais à quoi pourrons-nous reconnaître le vrai du faux ? A l'étiquette de la surtaxe ?

Eriam

 

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