6 décembre 2007
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13:44
Laisserez-vous ce soir, un
commentaire ?
Je ne sais ce qui s'est passé hier, mais vous avez crevé le plafond de fréquentation de ce blog ! Et pourtant, mardi 5 décembre n'était ni un jour de vacances, ni un jour de grève !
Je n'avais pas non plus battu le rappel de mes connaissances dont certaines proscratinent (il faut bien céder à la mode du moment !) et attendent peut-être Noël pour s'offrir la lecture des 639 articles de ce blog (celui-ci compris).
Les voix de femmes auraient-elles parlé à votre oreille comme celles qui parlaient à Jeanne d'Arc et à sa réincarnation royale ?
Peut-être avez-vous entendu dire qu'Eudoxie serait bientôt de retour ?
Toujours est-il que vous avez été si nombreux à me rendre visite que j'en suis presque gênée ;-) !
Mais un mystère demeure : pourquoi laissez-vous si peu de commentaires ?
Aidez-moi à comprendre : ma prose vous laisse-t-elle muets d'admiration et n'êtes-vous plus capables d'écrire un seul mot ?
J'ai conscience de ma valeur mais je n'irai pas jusqu'à penser que vos neurones sont moins actifs que les miens !
Il y a donc un mystère que seule, je ne pourrai élucider.
Alors : "Vous qui passez sans me voir,
Me laisserez-vous ce soir,
Un peu d'espoir ?"
Eriam
Illustration : courtoisie du Web
Je ne sais ce qui s'est passé hier, mais vous avez crevé le plafond de fréquentation de ce blog ! Et pourtant, mardi 5 décembre n'était ni un jour de vacances, ni un jour de grève !
Je n'avais pas non plus battu le rappel de mes connaissances dont certaines proscratinent (il faut bien céder à la mode du moment !) et attendent peut-être Noël pour s'offrir la lecture des 639 articles de ce blog (celui-ci compris).
Les voix de femmes auraient-elles parlé à votre oreille comme celles qui parlaient à Jeanne d'Arc et à sa réincarnation royale ?
Peut-être avez-vous entendu dire qu'Eudoxie serait bientôt de retour ?
Toujours est-il que vous avez été si nombreux à me rendre visite que j'en suis presque gênée ;-) !
Mais un mystère demeure : pourquoi laissez-vous si peu de commentaires ?
Aidez-moi à comprendre : ma prose vous laisse-t-elle muets d'admiration et n'êtes-vous plus capables d'écrire un seul mot ?
J'ai conscience de ma valeur mais je n'irai pas jusqu'à penser que vos neurones sont moins actifs que les miens !
Il y a donc un mystère que seule, je ne pourrai élucider.
Alors : "Vous qui passez sans me voir,
Me laisserez-vous ce soir,
Un peu d'espoir ?"
Eriam
Illustration : courtoisie du Web