Mélenchon le communiste, grand ami des journalistes, est chonchon : Marine Le Pen qu'il qualifiait de "démente" est en haut du mât. Le voici hors course après avoir tonitrué à hue et à dia qu'il allait la pourfendre de ses mots coupants et meurtrissants.
Ségolène est en mauvaise posture à La Rochelle dont elle avait décidé de faire l'assaut des remparts (voir article précédent).
Ici et là les femmes sont maltraitées, vilipendées, excepté celles administrées par François Hollande et qui, elles, ont choisi de ne pas perdre leur ministère en se lançant dans une bataille qu'elles savaient perdue d'avance.
A ce sujet, j'admire Aurélie Filipetti qui s'est remise en question et s'est présentée devant les électeurs de l'Est. Mais peut-être a-t-elle eu peur de se laisser griser par la culture et ses festivals ?
A droite, rien de nouveau. Rama Yade, qui fut longtemps la préférée des Français, a, par son arrogance et sa traîtrise, lassé ces mêmes Français. Nadine Morano continue à trop parler et trop fort.
Mais il y a aussi ces femmes qui subissent les assauts... calomnieux de jaloux pervers.
Autrefois, les corbeaux avaient le courage de fabriquer leurs propos venimeux en découpant les lettres des journaux ou en trempant leur plume dans l'encre noire de leurs âmes.
Aujourd'hui, ils recourent à la facilité allant même jusqu'à s'introduire chez les imprimeurs de leurs adversaires pour leur dérober papier et couleurs, n'ayant plus qu'à remplacer les informations de leurs concurrentes par leurs sales combines.
Jamais campagnes électorales n'auront été aussi écoeurantes que celles du premier semestre 2012 !
Vivement dimanche prochain !
Eriam