"Tout ce qui ne tue pas, rend plus fort" (Nietzsche).
Cette phrase pleine de sens est reprise par tout le monde, et même moi, en ces temps troublés.
Comme, à l'unanimité, vous avez accepté de rester sur mon blog malgré la pub, je sors vainqueur (ou vaincrice, ou vainqueurice ?) d'une (brève) période de doute.
Nous avons d'ailleurs des exemples concrets et flagrants sous nos yeux tous les jours.
François a-t-il montré quelque signe de faiblesse depuis la réception d'un exocet en plein estomac ? (Je pourrais descendre plus bas, mais cela serait inconvenant !). Même pas mort !
La seule qui ait fuit, sans doute par peur d'une riposte trop violente, est l'attaquante. Mais où est-elle donc passée ?
Le secrétaire d'Etat-député malhonnête, qui avait fustigé les mauvais payeurs de la République, a "démissionné", mais s'accroche et conserve son mandat de député qu'une gauche lâche lui laisse garder par peur de le perdre au profit de la droite extrême.
Manuel qui se casse la figure dans les sondages, tente de refaire surface en échangeant des amabilités avec la Martine des frites de Lille qui n'a pas encore poussé son dernier borborygme.
Mais aussi... Manuel enfourche le spectre de Marine pour créer diversion et faire oublier que nous ne sommes dirigés par personne.
Pendant ce temps-là... une famille quitte la France avec ses enfants pour les emmener "faire le djihad en Syrie".
A propos de spectre, me promenant dans un centre commercial réputé de la région parisienne, j'ai été prise de malaise en découvrant devant moi un groupe de 3 femmes voilées de la tête aux pieds accompagnant un homme nu-tête poussant une chaise roulante dans laquelle j'ai reconnu, à son masque de fer, un Belphégor plus vrai que nature.
Eriam