Qui l'eût cru ? Alors que le retour de l'ex-président de la République divise à nouveau la droite, la gauche en profite pour se repositionner.
Manuel Valls revient... sur ses positions. La gauche a passé la semaine à se creuser la cervelle pour savoir comment elle allait démanteler les mesures favorables à la famille et lui retirer ses allocations.
(Néanmoins, dans les cas de polygamie ou un seul homme prend à vie le congé parental que lui procurent ses quatre femmes à chaque grossesse, il y a quelque chose à faire !)
Nicolas Sarkozy parle (mais aussi Alain Juppé) et Manuel Valls annule la GPA (Gestation Pour Autrui). Sans doute par peur de l'invasion des familles dimanche dans la capitale.
Il l'avait bien dit Manuel : "Je débattrai contre Sarkozy, projet contre projet".
Je ne suis pas particulièrement heureuse, vous l'avez compris, de l'invasion de Nicolas, néanmoins, il n'est pas mauvais qu'il soit le poil à gratter (ou l'urticaire chronique) du gouvernement, et permette ainsi à Alain Juppé de se mettre en place pour 2017.
Ceci étant dit, en cette fin de semaine, je suis personnellement, et comme toujours, affectée par la situation mondiale qui ne saurait nous laisser indifférents.
La France est dramatiquement en crise. Hélas le ciel y met du sien et inonde le Sud, mais... des familles fuient leur pays et la Méditerranée submerge leurs corps...
J'arrêterai là mon énumération car je doute que vous puissiez aller jusqu'au bout sans avoir envie de pleurer et vous risqueriez de vous noyer dans des torrents de larmes.
Nous avons tous besoin les-uns des autres !
Ce matin le soleil brille, les oiseaux, indifférents au sort des humains, chantent à tue-tête, ignorant que le chat qui squatte mon jardin les guette d'un œil cruel.
Mais çà, c'est la vie !
Eriam
