5 septembre 2008
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S'il ne
porte plus de Rolex, remplacée par une montre moins voyante, sinon moins onéreuse ; s'il ne garde plus ses Ray Ban lorsqu'il est en public, accentuant ainsi la ride du lion entre ses yeux, il
n'en est pas encore à porter une Swatch ou une paire de lunettes de soleil Afflelou.
Cependant, notre président s'achemine pas à pas, annonce après annonce, vers un plan de rigueur (pardonnez ce gros mot !) et reproche à François Fillon - apparemment guéri de sa terrible sciatique et donc libéré d'un grand poids - une réunion de rentrée consacrée à la dégradation de la situation économique. "Une connerie selon Nicolas Sarkozy".
Sauf le respect que je luis dois, notre président prendrait-il les Français pour des c... débiles ?
Anne-Marie Idrac, secrétaire d'Etat chargée du Commerce Extérieur a réuni les 25 ambassadeurs en poste dans les pays les plus importants pour leur rappeler que "nous devons aller chercher la croissance où elle est". Cette petite phrase résonne en nos esprits comme un leitmotiv lancinant rappelant la douleur provoquée par un abcès mal soigné. A moins de creuser le sol avec les dents jusqu'en Alaska pour y extraire du pétrole qui ne nous appartient pas, la croissance n'est pas près de montrer le bout de son nez !
Dès lors, comment financer toutes les "promesses" du candidat ? Tout simplement en utilisant la méthode qu'emploieraient les socialistes s'ils étaient capables de prendre le pouvoir et s'ils en avaient le courage : en taxant par-ci par-là tous les pékins de France et de Navarre.
Et cette fois, ce ne sont pas que les riches qui vont payer ! Tous ceux qui, peu ou prou, possèdent un petit capital vont tous trinquer ! "Tchin tchin, à ta santé !"
Mais comment faire autrement si l'on veut éviter de creuser encore un peu plus le déficit et déclarer le pays en faillite ?
Français, sous les parapluies de cette rentrée pourrie, sortez vos mouchoirs ! Il n'y a pas que le ciel qui pleure cet automne !
Eriam
Illustration : courtoisie du Web
Cependant, notre président s'achemine pas à pas, annonce après annonce, vers un plan de rigueur (pardonnez ce gros mot !) et reproche à François Fillon - apparemment guéri de sa terrible sciatique et donc libéré d'un grand poids - une réunion de rentrée consacrée à la dégradation de la situation économique. "Une connerie selon Nicolas Sarkozy".
Sauf le respect que je luis dois, notre président prendrait-il les Français pour des c... débiles ?
Anne-Marie Idrac, secrétaire d'Etat chargée du Commerce Extérieur a réuni les 25 ambassadeurs en poste dans les pays les plus importants pour leur rappeler que "nous devons aller chercher la croissance où elle est". Cette petite phrase résonne en nos esprits comme un leitmotiv lancinant rappelant la douleur provoquée par un abcès mal soigné. A moins de creuser le sol avec les dents jusqu'en Alaska pour y extraire du pétrole qui ne nous appartient pas, la croissance n'est pas près de montrer le bout de son nez !
Dès lors, comment financer toutes les "promesses" du candidat ? Tout simplement en utilisant la méthode qu'emploieraient les socialistes s'ils étaient capables de prendre le pouvoir et s'ils en avaient le courage : en taxant par-ci par-là tous les pékins de France et de Navarre.
Et cette fois, ce ne sont pas que les riches qui vont payer ! Tous ceux qui, peu ou prou, possèdent un petit capital vont tous trinquer ! "Tchin tchin, à ta santé !"
Mais comment faire autrement si l'on veut éviter de creuser encore un peu plus le déficit et déclarer le pays en faillite ?
Français, sous les parapluies de cette rentrée pourrie, sortez vos mouchoirs ! Il n'y a pas que le ciel qui pleure cet automne !
Eriam
Illustration : courtoisie du Web